Les Sourates racistes du Coran
Les mythes fondateurs inspirent les actes pieux posés par une société quotidiennement ou ponctuellement.
Les prières propitiatoires et expiatoires, les invocations, les incantations et les évocations s’inscrivent dans le cadre de la piété quotidienne.
Les cérémonies majeures, comme le renouvellement de la création, la protection de la cité, la régénération du roi, le pèlerinage aux lieux de la Première fois, etc. appartiennent au domaine du ponctuel.
C’est à ces seules occasions où les mythes fondateurs, tels qu’ils sont narrés, peuvent être rappelés intégralement ou partiellement.
Mais les trois religions dites révélées, surtout l’Islam, ont la particularité de faire de leurs mythes fondateurs des prières quotidiennes.
Or si les mythes fondateurs sont parfois des récits réels ou aménagés d’un événement véridique, ils sont souvent, très souvent, la narration d’un fait tout à fait imaginaire.
Confrontés à la vérité historique, les mythes fondateurs des trois religions dites révélées, dévoilent leur caractère hautement fantaisiste.
Plusieurs dizaines des sourates du Coran racontent des événements censés s’être déroulés véritablement.
Parmi ces sourates 26, nettement identifiées, mettent en scène le peuple noir dans un état d’infériorité congénitale programmée face à des acteurs bénis d’Allah après l’avoir été de Jehovah dit l’Eternel et de Dieu-le-Père.
Ainsi est établie la cohérence de la négrophobie du Dieu ternaire
Foncièrement mensongères, ces sourates sont une manipulation et une déformation honteuses de la réalité historique dont l’objectif unique est de tenter de valider l’irréelle malédiction divine du fils cadet de Noé, Cham ancêtre biblique et coranique du peuple noir1.
Voici ses sourates racistes :
2 |
La Génisse |
Al-Baqarah |
3 |
La famille de Imram |
Al-Iamram |
7 |
Al-araf |
Al-Araf |
10 |
Jonas |
Yunus |
11 |
Houd |
Hud |
12 |
Joseph |
Yusuf |
17 |
Le voyage nocturne |
Al-Isra |
20 |
Ta-Ha |
Ta-Ha |
23 |
Les Croyants |
Al-Mumimune |
25 |
Al Furqan |
Al-Furqan |
26 |
Les Poètes |
As-Suara |
27 |
La Fourmi |
An-Naml |
28 |
L’Histoire |
Al-Qasas |
29 |
l’Araignée |
Al-Ankabut |
38 |
S (Sâd) |
Sad |
40 |
Le Croyant (Le Pardonneur) |
Gafir |
43 |
Les Ornements |
Az-Zuhruf |
44 |
La Fumée |
Ad-Duhan |
50 |
Qaf |
Qaf |
51 |
Qui éparpillent |
Ad-Dariyat |
54 |
La Lune |
Al-Qamar |
66 |
La défense (l’Interdiction) |
Al-Tahrim |
71 |
Noé |
Nuh |
73 |
Le prophète enveloppé dans son manteau |
Al-Muzzammil |
79 |
Les Anges qui arrachent les âmes |
An-Naziate |
85 |
Les signes célestes |
Al-Buruj |
89 |
L’aurore |
Al-Fajr |
Il ne fait aucun doute aujourd’hui que les acteurs, les Noirs comme les Sémites, ainsi que les événements, dans leur moindre détail, sont totalement fictifs.
Même les historiens et les chercheurs négrophobes les plus obtus sont désarmés face au verdict de la science et de la vérité.
De quel pharaon parlent la Bible et le Coran ?
Aucun historien, aucun chercheur, aucun Rabbin, aucun Pape, aucun Grand Mollah, aucun Grand Ayatollah n’a été capable, à ce jour, de l’identifier.
Et pour cause !
De l’entrée d’Abraham en Égypte, sous la 12ème dynastie, vers l’en 2000 avant J.C, au règne d’Aken-Aton en 1353 avant J.C2., il s’est écoulé plus de 600 ans qui ont vu défiler plusieurs dizaines de pharaons sur le trône de Kamita
Mais, pour brouiller les cartes, la Bible et le Coran, ne parlent que de pharaon au singulier.
Les deux livres misent sur l’insuffisance de réflexion et l’aveuglement passionnel des sectateurs de leurs religions pour accepter cette affabulation.
Et ça marche ! Particulièrement chez leurs victimes désignées, les Noirs !
Nous invitons les Kamites à faire preuve d’un peu d’audace afin d’opérer les remises en question essentielles.
Nul n’a le droit de faire sienne une spéculation religieuse étrangère sans l’avoir comprise ; en d’autres termes, sans en identifier l’origine, les acteurs et les objectifs réels et après comparaison sereine avec celles de son propre peuple.
Nous invitons les Kamites à relire les sourates en question avec un esprit raisonnablement critique et à les soumettre à la lumière d’autres sources historiques, culturelles, cultuelles et spirituelles.
Et pour celles et ceux d’entre eux qui hésitent à adopter une posture de rupture salutaire, nous les exhortons à éviter d’insulter nos Ancêtres, leurs Ancêtres, dans ces sourates auto-dénigrantes lors de leurs prières.
Elles doivent être rayées de la liste de leurs actes de piété.
C’est le moins qu’ils puissent faire pour la paix de l’Esprit Véritable de nos Ancêtres en attente de leur réincarnation.
Doumbi-Fakoly.
1 Genèse : chapitre 9 versets 25 à 26.
2 Durée approximative du séjour des Sémites à Kamita.